Contrairement à d’habitude, il ne s’agit pas là d’un test mais d’une news pour présenter un nouvel objet connecté qui risque bien de faire parler de lui et de se faire une place dans le monde de la domotique d’ici quelques temps.
Il s’agit du « TiBe Connect» de la startup française TICATAG déjà à l’origine de l’objet TiFiz (balise GPS connectée sans carte SIM)
http://www.ticatag.com/
Mais qu’est-ce donc que le TiBe ? Quel est cet objet qui se cache derrière ce nom un peu « geek » ?
Et bien, il s’agit d’un porte-clés connecté !
Vous allez me dire « OK un porte clé connecté juste pour retrouver ces clés en le faisant bipper !… » Mais non, vous vous méprenez !…
C’est en effet un porte-clés pour ne plus perdre ses affaires mais aussi pour piloter ses objets connectés. Et c’est là que je lui trouve un vrai plus.
Vous aurez le choix de son utilisation parmi une multitude de possibilités telles que :
allumer ou éteindre des ampoules connectées.
mettre en route un objet à distance (cafetière, enceinte connectée…).
faire sonner votre smartphone ou déclencher son appareil photo.
envoyer une alerte géolocalisée.
piloter votre thermostat Nest.
ouvrir votre porte de garage.
…
Bref, autant dire que si vous avez de l’imagination, vous allez pouvoir vous servir du TiBe Connect dans pas mal de vos scénarios domotiques.
Via la plateforme ITT (https://ifttt.com) vous pourrez connecter les objets entre eux pour faciliter les tâches quotidiennes.
Le TiBe Connect peut se piloter via le smartphone et une application dédiée disponible sous iOS et Android. Vous pourrez réaliser plusieurs actions dont :
Visualiser la dernière position du porte-clés, le faire sonner ou l’allumer pour retrouver l’objet qui y est attaché et perdu.
Déclarer son objet « perdu », pour activer la recherche par l’intermédiaire des autres propriétaires d’application TiBe.
Ce nouvel objet connecté TiBe Connect de la société TICATAG, startup française, est actuellement en campagne de crowdfounding via la plateforme INDIEGOGO.
Nous espérons dans quelques temps avoir l’opportunité de vous présenter cet objet connecté sous la forme plus conventionnelle, à savoir un test IRL. En attendant, les atouts de cet objet connecté restent prometteurs et c’est avec impatience que l’on attend sa sortie officielle.
Aujourd’hui, en ouvrant le carton que j’ai reçu, j’ai eu la bonne surprise d’avoir reçu le fameux pack Station météo Netatmo !! Pas seulement la station de base, mais également les modules additionnels que sont le pluviomètre et l’anémomètre.
La boîte contenant la station de base n’est pas très grande malgré le fait que la station météo soit composée de deux modules : un module intérieur et un extérieur.
MESUREZ EN TEMPS RÉEL VOTRE ENVIRONNEMENT INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR: température, humidité et qualité de l’air intérieures et extérieures, niveau sonore intérieur, pression atmosphérique…
SOYEZ ALERTÉ EN TEMPS RÉEL : avec notre Station Météo, configurez des alertes intérieures et extérieures et recevez des notifications sur votre smartphone. Sachez quand aérer avec l’alerte...
On imagine donc tout de suite que la station doit être assez petite et qu’elle s’intègrera bien dans la maison !
Le packaging est plutôt épuré et l’essentiel des informations apparaissent sur la boîte.
En ouvrant la boîte on se rend tout de suite compte du design assez classe donné par Netatmo à sa station météo mais également de ses dimensions réduites ! Je pense qu’elle s’intégrera bien à la décoration de la maison !
La station météo est livrée avec :
son chargeur et un long câble USB
2 piles (pour la sonde extérieure)
une petite notice
un système de fixation à scratch ou par vis (pour la sonde extérieure)
Caractéristiques techniques :
Matériaux et design:
Pièce d’aluminium monobloc.
Plastiques résistants aux UV.
Alimentation:
Module intérieur alimenté par adaptateur secteur-USB.
Module extérieur alimenté par 4 piles AAA (jusqu’à 1 an d’autonomie).
Capteurs et mesures :
Température (intérieure)
Plage de mesure: 0°C à 50°C
Précision: +- 0.3°C
Température (extérieure)
Plage de mesure: -40°C à 65°C
Précision: +- 0.3°C
Hygrométrie (intérieure et extérieure)
Plage de mesure: 0 à 100%
Précision: +- 3%
Baromètre
Plage de mesure: 260 à 1260 mbar
Précision: +- 1 mbar
Capteur de CO 2 (intérieur)
Plage de mesure: 0 à 5000 ppm
Précision: +- 50 ppm ou +-5%
Sonomètre
Plage de mesure: 35 à 120 dB
Unités de mesure:
Système métrique: °C et mbar.
Système impérial: °F et inHg.
Caractéristiques sans fil:
Compatible avec le Wifi 802.11 b/g/n.
Sécurités supportées: Ouvert/WEP/WPA/WPA2-personal (TKIP et AES).
Connexion sans fil entre les modules: 868 MHz longue portée 100m.
Dimensions :
Module intérieur: 45x45x155 mm
Module extérieur: 45x45x105 mm
Caractéristiques fonctionnelles :
C’est la première Station Météo connectée mesurant la qualité de l’air.
Mesure de la température, pression barométrique, humidité et la concentration de CO2.
Fréquence des enregistrements toutes les 5 minutes.
Vos données sont accessibles n’importe quand et depuis n’importe où sur votre compte personnel Netatmo (via l’appli smartphone ou un lien web).
Accessible depuis plusieurs appareils, pas de limite de stockage.
Partagez votre station avec votre famille et vos amis.
Pas de frais d’abonnement, application gratuite à vie.
Application disponible sur l’App Store et sur Google Play.
Connexion sans-fil entre les modules: 868 MHz longue portée 100m.
Prévision détaillée à 7 jours.
Indice de pollution extérieure.
Indicateur lumineux pour la lecture directe du CO2.
API disponible pour intégration dans un système domotique.
Compatible avec le contrôleur d’arrosage automatique GreenIQ.
Autant dire que cette station météo à l’air prometteuse !!
Le module additionnel pluviomètre bénéficie du même packaging que la station météo ! Simple et épuré mais avec toutes les info utiles !
Caractéristiques techniques :
Matériaux et design:
Plastique résistant au UV
Alimentation:
2 piles AAA (jusqu’à 1 an d’autonomie)
Capteurs et mesures :
Plage de mesure: 0,2 mm/h à 150 mm/h
Précision: 1 mm/h
Unités de mesure:
Système métrique: mm
Système impérial: inches
Caractéristiques sans fil:
Connexion sans fil entre les modules: 868 MHz longue portée 100m.
Dimensions :
13x13x11 cm
Caractéristiques fonctionnelles :
Uniquement pour Station Météo Netatmo
Mesure des précipitations en mm/h
Mesure réalisée en heure glissante et cumulée
Evacuation automatique de la pluie
Connexion sans-fil avec la station
En ouvrant la boîte, je ne m’attendais pas à avoir un module assez imposant !! Mais c’est vrai qu’il faut bien un assez grand bol de réception pour recevoir la pluie 😉 Et puis il n’est pas trop voyant !
Le pluviomètre est juste livré avec une notice et 4 piles.
… de l’anémomètre :
Comme pour les autres modules de la gamme, l’anémomètre bénéficie du même style de packaging !
Caractéristiques techniques :
Matériaux et design:
Plastique de haute qualité. Résistant aux UV, la grêle et les forts vents.
Alimentation:
4 piles AA
Capteurs et mesures :
4 transducteurs à ultrasons
Vitesse du vent :
Plage : 0 à 45 m/s (160 km/h)
Précision : 0,5 m/s (1,8 km/h)
Direction du vent :
Précision : 5°
Unités de mesure:
m/s, km/h, mph, noeuds, Beaufort.
Caractéristiques sans fil:
Connexion sans fil entre les modules: 868 MHz longue portée 100m.
Dimensions :
Hauteur : 110mm
Diamètre : 85mm
Certifications : CE et FCC
Caractéristiques fonctionnelles :
Anémomètre pour Station Météo Netatmo.
Mesure la vitesse et la direction du vent grâce à une technologie révolutionnaire à ultrasons.
Ultrasons = Pas d’inertie contrairement aux anémomètres classiques et le moyen le plus précis pour détecter la direction du vent.
Recevez des alertes sur votre smartphone et suivez l’historique de vos données sur votre application (smartphone, tablette ou PC).
Connexion sans-fil avec la station.
Comme pour le pluviomètre le module est assez imposant mais très design et non voyant a outrance !
L’anémomètre de Netatmo embarque un nouveau système de mesure du vent (système à ultrasons) ce qui est beaucoup plus fiable que l’ancien système à ailettes !
Passons maintenant à l’installation de cette station et des ses modules additionnels.
Installation …
… de la station météo (sonde intérieure et extérieure) :
L’installation des éléments Netatmo est vraiment très simple. Vous pouvez l’installer soit via le site internet soit via l’application smartphone.
Pour ma part j’ai utilisé l’application smartphone ! Il faut donc déjà commencer par la télécharger 🙂
Une fois l’application installée et lancée, il va falloir vous créer un compte chez Netatmo. Il suffit juste de renseigner un email, un mot de passe et d’accepter les conditions d’utilisation.
Une fois enregistré et connecté il ne reste plus qu’à suivre le guide ! En effet l’application vous guide pas à pas à l’aide de schémas !
Il faut commencer par brancher la station à une prise secteur puis d’appuyer sur le dessus de la station jusqu’à ce que la lumière bleue en façade clignote.
La station va démarrer et commencer son initialisation. Il vous faut attendre la fin du processus pour passer à l’étape suivante qui est de configurer la connexion WiFi à votre réseau !
Pour ce faire il suffira juste de sélectionner votre réseau et de rentrer la clé de connexion associée !
Il faut maintenant attendre que la station se connecte à votre réseau.
Une fois la station connectée à votre réseau WiFi, elle va automatiquement embrayer sur une mise à jour automatique de son logiciel, ce qui est pas mal !! Au moins on est sûr d ‘avoir le dernier firmware.
Pour terminer l’installation de la base intérieure il vous faudra lui donner un nom.
Une fois l’installation du module intérieur finalisée, l’application Netatmo va vous demander d’installer le module extérieur. Il va d’abord vous demander d’insérer les piles dans le module si ce n’est pas déjà fait puis vous indiquer comment l’installer à l’extérieur de votre maison.
Pour ma part je l’ai installé au niveau de ma cuisine extérieure. Au moins il est bien protégé de la pluie 🙂
Pour finir, l’application vous donne quelques informations utiles sur le fonctionnement et pour débuter la prise en main de votre station météo.
Nous pouvons maintenant installer le pluviomètre et l’anémomètre !
… du pluviomètre :
Netatmo a prévu de pouvoir installer le pluviomètre directement depuis l’application smartphone.
Malheureusement, malgré plusieurs tentatives, je n’ai pas réussi a installer le pluviomètre via l’application smartphone !! 🙁
Je suis donc passé par le site internet de Netatmo via mon PC (Ce qui me permettra de vous montrer la 2ème façon d’installer les modules additionnels 🙂 !! ). Pour cela il suffit de se connecter à son compte Netatmo sur la page suivante :
Une fois connecté, il faut cliquer sur l’icône Webapp en bas à droite (icône de la station météo)
Une fois sur la page suivante il suffit de cliquer sur la roue crantée en haut à gauche.
Vous allez arriver sur ce menu où il faut cliquer sur « Retour » !
Sur le menu « Mes stations » il suffira de cliquer sur « Ajouter/Supprimer un module » !
Netatmo va proposer de télécharger le logiciel d’ajout de module. Donc la pas le choix … on télécharge le gestionnaire de module !
Une fois téléchargé il faut lancer l’.exe et se laisser guider ! Pour commencer Il va vous être demander de brancher la station (module intérieur) à votre PC via le câble USB.
Une fois connectée vous aurez alors le choix d’ajouter un module. Il suffit de cliquer sur le bouton « Ajouter » au niveau du pluviomètre !
Netatmo va vous demander d’insérer les piles dans le pluviomètre. Une fois les piles insérées le module va être automatiquement détecté par la station météo !
Une fois détecté, l’installation du module est finie !! C’est aussi simple que çà !
On peut maintenant ajouter l’anémomètre.
… de l’anémomètre :
Toujours via le gestionnaire de modules sur votre PC, cliquer sur le bouton « Ajouter » au niveau de l’anémomètre ! Au passage on peut voir que le pluviomètre à été bien installé 🙂
Comme pour le pluviomètre il suffit de se laisser guider !
Insérer les piles, puis attendre que le module soit automatiquement détecté …
… c’est fini 🙂
En cliquant sur « Suivant » vous finaliserez l’installation des modules et vous pourrez rebrancher normalement votre Station météo (module intérieur).
A la première reconnexion sur l’appli smartphone, Netatmo donnera quelques conseils sur la façon de placer l’anémomètre afin de remonter de bonnes mesures !
Je ne peux malheureusement pas vous montrer comment j’ai installer les deux modules à l’extérieur puisque je n’ai pas reçu le pied qui sert à les fixer. A savoir qu’il ressemble à cela.
Je vais donc devoir faire un système à la Mac Gyver en attendant 😉
Remontée des indicateurs
Il y a deux possibilités de voir les données remontées par la station météo :
via le site web
via l’application smartphone
Voici ce que donne la visualisation via le site web https://www.netatmo.com/fr-FR/weathermap
Tout est regroupé sur la même page mais les valeurs restent bien lisibles ! Il y aura possibilité de voir les données sous forme de graphiques plus facilement que sur smartphone ou tablette, avec rétrospective sur la semaine, le mois ou même l’année ce qui est pas mal.
Et voici ce que donne la visualisation via l’application smartphone. Il sera possible d’accéder à la visualisation d’une donnée ou une autre par un simple slide ou via un appui sur une donnée.
Par exemple, en appuyant sur la température extérieure, on affichera la T° max et min de la journée ainsi que le point de rosée.
Ici l’affichage des données des deux modules additionnels que sont le pluviomètre et l’anémomètre.
Netatmo a également intégré une fonction très intéressante à son application smartphone.
Via le petit en haut à droite il sera possible d’avoir une explication rapide des données affichées à l’écran.
Conclusion
Netatmo a sorti un vrai petit bijou de technologie. Ils ont vraiment mis le paquet sur le design produit, et la restitution de données que ce soit sur portail web ou sur appli smartphone. Il est vraiment facile de lire et comprendre les remontées de la station.
Par contre la station et tous ses add-on représentent un certain coût (environ 400€ pour la station, l’anémomètre, le pluviomètre et 2 axe de fixation) mais la qualité est au rendez-vous !
Je vais maintenant voir s’il est possible d’intégrer facilement cette station à certaines box domotique comme la Eedomus et la Jeedom grâce au système d’API mis en place par Netatmo !
MESUREZ EN TEMPS RÉEL VOTRE ENVIRONNEMENT INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR: température, humidité et qualité de l’air intérieures et extérieures, niveau sonore intérieur, pression atmosphérique…
SOYEZ ALERTÉ EN TEMPS RÉEL : avec notre Station Météo, configurez des alertes intérieures et extérieures et recevez des notifications sur votre smartphone. Sachez quand aérer avec l’alerte...
Avec sa télécommande murale Octan, NodOn propose un produit très utile. Interrupteur lorsqu’elle est aimantée sur son socle mural, ou télécommande portative pour se déplacer avec dans la maison, ce produit est tout simplement très pratique. Nous allons voir comment l’utiliser seule comme contrôleur principal, ou avec la box domotique Vera Edge.
Le fabriquant français Nodon a donc sorti une nouvelle télécommande : la télécommande murale Octan. Comme à son habitude, en ouvrant le colis je découvre le packaging très épuré signature de ce fabriquant !
La télécommande Octan est une télécommande à pile utilisant le protocole Z-Wave (compatible Z-Wave Plus).
La télécommande Octan permet de contrôler n’importe quel autre module connecté à votre box domotiqueou directement en tant que contrôleur sans passer par votre box. Vous pourrez donc ainsi l’utiliser dans tout un tas de scénarios comme par exemple piloter vos volets, vos lumières, votre alarme, une prise commandée, …
Comme pour la Soft Remote (de chez Nodon également), elle possède un aimant intégré qui permet de la fixer partout, comme par exemple sur la porte du réfrigérateur ou sur son socle livré avec. Ce dernier est quant à lui fixable sur une boite d’encastrement ou grâce à des scotchs 3M.
Elle pourra donc être utilisée comme interrupteur design transformable en télécommande à n’importe quel moment !
NodOn fourni une notice avec le module en plusieurs langues où on y trouve les infos suivantes :
– L’installation – Le fonctionnement du mode « direct » – Le fonctionnement du mode « centrale domotique »
Caractéristique Techniques :
Alimentation : Pile CR2032 – Autonomie 1,5 – 2ans
4 boutons
Support mural fixé par adhésif double face (inclus) ou vis (non incluses)
Aimant intégré pour fixation sur son support ou une autre surface métallique
Température de fonctionnement : 0°C à 40°C – Altitude : 2000m
Protocole radio :Z-Wave® : 868.4MHz – 500 Series – Compatible Z-Wave Plus® SDK 06.51.01
Portée : 40m indoor / 80m outdoor
Dimension : 80x80x15mm
Garantie 2 ans
2.INSTALLATION EN TANT QUE CONTRÔLEUR DIRECT
Par défaut, la télécommande Octan est en mode « Direct ». Cela signifie qu’elle peut contrôler des modules Z-Wave compatibles directement sans passer par une box domotique.
Avec cette façon de fonctionner il vous faudra choisir entre deux modes d’utilisation différents. Le profil Mono ou Duo. En quoi consistent-t-ils ?
Pour lire la suite de cet article il faut vous rendre sur le blog de Domadoo.
Suite à l’article de présentation de l’imprimante Dagoma discovery 200, j’ai vu que le leader français de l’impression 3D, lève 3M€ pour financer sa croissance. DAGOMA, la jeune entreprise roubaisienne devenue en deux ans un acteur majeur de l’impression 3D, a effectué une levée de fonds de 3 M€ pour financer sa R&D et ses projets de croissance. Lancée en 2014 par Matthieu Régnier, 29 ans, et Gauthier Vignon, 35 ans, DAGOMA a déjà vendu plus de 4000 imprimantes 3D conçues et fabriquées en France.
En proposant des imprimantes 3D en kit à 299€ ou montée à 399€, simples d’utilisation et de bonne qualité, l’entreprise a, d’entrée de jeu, révolutionné un marché prometteur. Elle s’est également positionnée sur le marché des professionnels avec le lancement, au printemps dernier, de l’Explorer350.
Olivier Leclercq investit 3M€ chez Dagoma et se positionne comme un actionnaire de croissance. Né à Roubaix comme Dagoma, il est l’ancien président du leader mondial Décathlon et le fondateur des hôtels Olivarius. Il vit avec sa famille depuis 5 ans à Montecino, USA, où il développe les entreprises Coolibar, Acijet et The SB Bar. Il a déclaré: « J’ai été séduit par l’énergie et la capacité d’innovation des équipes de DAGOMA pour rendre l’impression 3D accessible au plus grand nombre. Je suis ravi de les accompagner dans leur développement en France puis très vite à l’international ! » Avec cette levée de fonds, DAGOMA a donc les moyens de développer ses projets. l’entreprise, qui compte déjà 26 salariés, embauchera 15 personnes supplémentaires d’ici à la fin de l’année. Elle continuera d’investir dans le développement de nouvelles solutions d’impression 3D innovantes et accessibles à tous. Enfin, elle développera ses implantations géographiques pour se rapprocher de ses clients, en France et à l’étranger. Dès septembre, elle ouvrira à Pessac, près de Bordeaux son premier Dago’Center, centre de formation et d’assistance clients qui proposera également des services d’impression à la demande et un espace de coworking. La rentrée voit aussi la sortie d’une nouvelle imprimante, la DiscoEasy200 plus performante, encore plus simple à monter et à utiliser et toujours à …299€ !
Plus performante, encore plus simple à monter et à utiliser. Quels sont les nouveaux atouts de la DiscoEasy200 ? La DiscoEasy200 propose un design épuré, moderne et avant gardiste. Le montage est plus facile et plus rapide : certains éléments sont livrés montés, certaines pièces des côtés sont réversibles, une nouvelle carte de contrôle est proposée, les espaces et les branchements sont plus accessibles et offrent notamment la possibilité de faire évoluer l’imprimante.
Petit bonus : un tournevis et une cible de réglage pour régler plus facilement le palpeur sont offerts. L’utilisation de la machine est également facilité : la micro carte SD est remplacée par une carte SD beaucoup plus simple à manipuler. Le réglage du palpeur est optimisé en amont. Le nouveau logiciel “Dagom’app” (gratuit et livré avec l’imprimante) permet de régler la bonne hauteur pour la buse et de l’enregistrer une fois pour toute dans la mémoire de la machine. Les réglages à effectuer dans l’ordinateur disparaissent !
La DiscoEasy200 est plus stable et silencieuse grâce à ses patins en silicone et plusieurs renforts ont été ajoutés pour renforcer la structure. En somme, la machine est plus fiable. La courroie est désormais pincée en une seule pièce sous le plateau, ce qui évite les éventuelles déformations progressives. Les bouchages de buse sont réduits grâce à la double ventilation pièce et radiateur, et l’ergonomie de la buse a été optimisée pour améliorer la qualité des impressions. Enfin, la DiscoEasy200 dispose d’options exclusives pour optimiser ses performances. Elle peut ainsi être équipée d’un écran de contrôle, d’un détecteur de fin de filament ou encore d’un caisson de protection, spécialement conçus pour cette nouvelle imprimante 3D. A propos de Dagoma : L’idée de Dagoma est née il y a quatre ans, en même temps que la rencontre de Matthieu Régnier et Gauthier Vignon. En travaillant sur un projet de vélo, ces deux ingénieurs expatriés à Shanghai se sont pris de passion pour l’impression 3D et se sont lancé le défi de rendre cette technologie accessible à tous. Il ont alors multiplié les recherches, les prototypes et, de retour en France deux ans plus tard, se sont fait remarquer en sortant la Discovery200, une imprimante 3D simple à utiliser et vendue en kit moins de 300 euros l’une des moins chères du marché français. Le succès a été immédiat. De deux personnes au départ, l’équipe est passée à plus de vingt en un an. Très vite, la jeune pousse a élargi son offre en proposant plusieurs marques de filament dont deux en propre, des accessoires, des “box”, des formations, une imprimante pour les professionnels (lancement au printemps dernier de l’Explorer350)… Elle est aujourd’hui une véritable boîte à outils pour les passionnés d’impression 3D et pour tous ceux qui veulent découvrir cet univers.
Pour terminer voici les nouvelles caractéristiques techniques de la discoeasy200
Technologie : dépôt de filament (FDM) Impression monochrome Consommable : filaments (non propriétaire) Matériau recommandé : PLA Diamètre du filament : 1,75 mm Système : Windows, Mac Diamètre de la buse : 0,4 mm Température d’extrusion : 280° C maxi Matériaux acceptés : ABS, PVA, Nylon… (à manier avec précaution) Fichiers de la structure imprimée mis à disposition Logiciel gratuit dédié : Cura by dagoma Screen Control Inclus : carte SD, spatule, tournevis Hex 2.5 mm, logiciel Dagoma et cible de réglage
PERFORMANCE
Taille d’impression max 200x200x200 mm Epaisseur mini d’impression : 0,1mm (100 microns) Précision positionnement Z : 0,01 mm (10 microns) Précision positionnement XY : 0,05 mm (50 microns) Volume d’impression max 8,00 L Vitesse d’impression max 30 à 150 mm/s
MACHINE
Encombrement : 370 x 370 x 370 mm Poids : 5 kg
CONNECTIVITÉ
Fonctionnement autonome par carte SD Connexion USB possible Compatible avec les principaux logiciels de dessin 3D : Solidworks, SketchUp, Tinkercad..
Lors de ma visite au CES de Vegas j’ai eu l’occasion de croiser la société Wistiki, avec qui j’ai pu discuter des nouveaux modèles. (Voilà!, Ahā! et Hopla!) Le Voilà dispose désormais de trois ans d’autonomie et d’une portée pouvant atteindre 100 m en champ libre.
le Voilà le premier modèle que j’ai reçu de chez Wistiki, il est livré dans une boite qui donne de suite un aspect haut de gamme du produit.
Une fois déballé, un gros whaou… il est beau ! en métal avec une partie translucide colorée. Il est bon de rappeler que le design est du à Monsieur Philippe Starck !
Sur mon trousseau de clés, il est à côté d’une clé usb et c’est vrai que celui-ci ressemble fortement à une clé USB. Le Voilà dispose d’un seul bouton central
Le système d’accroche à vos clés est directement mis dans le métal pour une solidité optimale.
Une petite notice est disponible dans le coffret, celle-ci détaille les 3 étapes nécessaires au fonctionnement de celui-ci
C’est partit pour le test du Wistiki Voilà
J’ai téléchargé l’application sur l’App Store.
Puis une fois installé il faut autoriser l’application à utiliser le bluetooth en arrière plan.
Sachant que celui-ci est en bluetooth, il faut donc l’activer 😀
Un petit tuto vous explique les différentes fonctions du Voilà Sur la page principal, vous pouvez vous connecter et également créer votre compte.
La création du compte est simple pas besoin de 50 informations.
Un petit check est réalisé pour vérifier que les autorisations requises sont acceptées
Je ne vais pas vous cacher mais j’ai eu un peu de mal à ajouter mon Wistiki, il faut appuyer fortement sur le bouton central, au début je n’ai pas osé appuyer assez fortement…
Une fois la mélodie entendu, celui ci est bien détecté par l’application il faut lui donner un nom et indiquer sa couleur.
Dans l’application vous avez directement la géolocalisation du Wistiki, dés qu’il est connecté à votre téléphone.
Il est possible aussi de voir ou le Voilà se trouve vis a vis de votre téléphone avec la fonction Chaud / Froid. Vous pouvez aussi le faire sonner comme avant, la sonnerie est plus forte et surtout plus ondulante, les variations de fréquence les rendant beaucoup plus audibles, en particulier pour les personnes âgées
Comme vous avez pu le voir vis a vis de mon premier test du Wistiki, l’application pour smartphone est complètement revue, vous pouvez utiliser la fonction « rendre un Wistiki » sans inscription préalable
Cela se veut simple comme procédure c’est vraiment un point d’amélioration intéressant.
Pour conclure,
Je suis vraiment satisfait du nouveau Wistiki Voilà, celui ci est vraiment très beau, il remplit son rôle à merveille, parlons maintenant un peu du prix. Celui ci est fixé à 49€, ce qui n’est pas donné sachant que la première version était à 25€… J’ai hâte maintenant de tester les autres produits de chez Wistiki, le Ahā! et Hopla!
Sa taille est raisonnable, je pense que chez Foscam on a du s’en inspirer un peu vis a vis de la caméra C1… Elle est livrée avec un pied orientable.
A l’arrière de celle ci vous retrouvez un FlashCode qui va vous servir pour l’enregistrement de votre cam dans le logiciel Nest sur votre smartphone / Tablette.
Comme vous pouvez le voir la taille de la caméra est vraiment très bien, elle est assez discrète.
Elle est livrée avec une alimentation et un long câble USB. (dommage que celui ci soit blanc alors que la caméra est noir)
Voici le chargeur.
Et ci dessous le port Micro Usb pour l’alimentation de la caméra, celui ci se trouve au dos de la caméra Nest. Un support mural est également disponible, si vous souhaitez accrocher celle ci.
Concernant l’installation de celle ci, Nest nous donne le départ ! une fois la caméra branchée, il suffit de télécharger le logiciel et ensuite il faut suivre les instructions de configuration qui s’affichent.
Passons maintenant à la configuration depuis mon Iphone.
Une fois la création de mon compte et les conditions générales acceptées, je peux donner un nom à mon domicile.
Puis il faut renseigner l’adresse postale.
Une fonction intéressante est la position de votre téléphone pour la fonction Chez moi / Absent. Cela permet à vos produits Nest de déterminer si vous êtes chez vous ou non et ainsi appliquer des actions.
Pour rajouter la caméra, il faut appuyer sur Ajouter.
L’application souhaite accéder à mon appareil photo pour prendre le Qrcode en photo.
Une fois le Qrcode flashé, il faut connecter votre caméra à votre réseau WiFi.
Pour terminer une étape importante est le choix de la qualité de l’image.(360P, 720P, 1080P)
Le mode détecté permet d’avoir une notification si un mouvement est détecté.
Il est important de spécifier que la détection de mouvement sur de nombreuses caméra rime souvent avec énormément de notifications… Nest Cam vous alerte d’un mouvement ou d’un bruit à un intervalle de 30 minutes seulement… du coup si vous pensez avoir de nombreuses notifications vous allez être tranquille 😉
Lorsque la caméra détecte un mouvement ou un son, un enregistrement d’une moyenne de 30 secondes sera disponible sur l’application. Par contre si vous désirez récupérer la vidéo il faudra souscrire à une option payante, l’option est Nest Aware cela se fait directement avec l’application, il faut compter 10 € pour 10 jours ou 30 € pour 30 jours, soit 1 euro par jour. Cela n’est pas donné…
La Nest cam embarque un capteur de 3Mpx et un zoom numérique 8x et surtout elle dispose d’un grand-angle à 130°.
Elle intègre un micro et un haut parleur situé à l’arrière. Le haut parleur n’est pas très puissant mais suffisant pour entendre le message envoyé depuis l’application.
Ci dessous une capture d’écran depuis la page internet https://home.nest.com car votre caméra est également disponible depuis un navigateur internet.
Dans les options de la caméra, vous avez la fonction Chez moi / absent, la programmation, la qualité de l’image, la visio nocturne, le partage de la caméra et j’en passe… il y a de quoi s’amuser mais cela reste simple d’utilisation.
En conclusion
J’ai testé il y a peu de temps la withings Home, je trouve que la caméra Nest cam est meilleur dans le rendu vidéo
J’ai bien aimé cette caméra, car son ergonomie est vraiment top, la qualité d’image est vraiment excellente, l’application est vraiment bien faite, et son installation est simple. Ce que je reproche c’est l’option Nest Aware qui n’est pas donné… Je trouve que la caméra chauffe un peu, vis a vis d’autres modèles que j’ai pu tester. Mais c’est pour moi un modèle haut de gamme qui est vraiment pas mal du tout.
J’ai patienté un peu avant de vous proposer ce test, mais avec les vents que nous avons eut dans le Nord de la France l’anémomètre de chez Netatmo a pris l’air. C’est le dernier objet que le constructeur Français a mis sur le marché pour compléter la station météo Netatmo, après le pluviomètre.
Annoncé lors du CES 2015, l’anémomètre Netatmo est finalement sorti en fin d’année dernière. Découvrons ensemble ce nouveau capteur pour mesure la vitesse et la direction du vent.
Une fois ouvert, l’anémomètre est superbe, mais où sont les palettes qui permettent de connaitre la vitesse du vent ?
Comme on peut le voir sur cette photo, Netatmo n’utilise plus des palettes, mais une technologie révolutionnaire à ultrasons ! En effet, les ultrasons apportent plusieurs avantages, pas d’inertie vis-à-vis du système à palettes, et surtout c’est très précis pour détecter la direction du vent.
Voici ses caractéristiques techniques :
Matériaux et design:
Plastique de haute qualité. Résistant aux UV, la grêle et les forts vents.
Alimentation:
4 piles AA
Capteurs et mesures :
4 transducteurs à ultrasons
Vitesse du vent :
Plage : 0 à 45 m/s (160 km/h)
Précision : 0,5 m/s (1,8 km/h)
Direction du vent :
Précision : 5°
Unités de mesure:
m/s, km/h, mph, noeuds, Beaufort.
Caractéristiques sans fil:
Connexion sans fil entre les modules: 868 MHz longue portée 100m.
Mais ce n’est pas tout en dessous vous avez aussi une petit flèche indiquant le Nord, cela est important de bien respecté l’orientation de l’anémomètre lors de son installation, car sinon les relevés seront faux. Vous pouvez vous aider de votre boussole sur votre smartphone 😉
Une fois les 4 vis retirées, il vous faudra patienter un peu avant de retirer la languette, on va passer à son installation.
INSTALLATION DE L’ANÉMOMÈTRE NETATMO
Pour installer l’anémomètre j’ai utilisé l’application Netatmo de mon iPhone.
Il faut aller dans le coin à gauche pour afficher le menu et ainsi choisir « Paramètres ».
Je vais vous présenter l’inclusion d’un détecteur de fumée Fibaro sur la VeraPlus.
Comme nous avons déjà vu dans un précèdent article, la VeraPlus est multi-protocoles. Nous pouvons donc installer du matériel Fibaro Z-Wave et d’autres équipements en Zigbee ou Bluetooth sans problèmes.
Bien que la fonction principale du smoke Sensor Fibaro FSSS-002 soit de détecter de la fumée afin de prévenir un incendie, il embarque également avec lui une sonde de température qui peut nous permettre de créer divers scénarios.
De plus comme la plupart des détecteurs de fumée sont exposés dans des endroits peu discrets, celui-ci dispose d’un design et d’un esthétisme très joli et épuré. Je ne parle même pas de sa taille minimaliste, qui sera se faire apprécier surtout avec tout ce qu’il a dans le ventre.
Installation du Fibaro Z-wave FGSS-002
Aller dans l’interface de la Vera-Plus .
Dans « Device », vous trouverez à droite de l’écran un bouton « Add Device »
Ensuite cliquer sur « Sensors »
Puis sélectionner le modèle de détecteur de fumée.
Puis « Next »
Ouvrir le capot arrière, et enlever la petite languette située au niveau de la pile.
Une fois la pile branchée, vous allez entendre un « BIP », c’est tout à fait normal.
Ensuite refermer le capot arrière.
Lancer l’inclusion :
Pour inclure manuellement le Détecteur de fumée, approcher le contrôleur, le mettre en mode inclusion (cliquer « Next » dans l’interface), appuyer 3 fois très rapidement sur le bouton rond situé sur le dessus du Détecteur de fumée (B-button).
Après inclusion du module, deux équipements figurent dans l’interface Vera Plus.
Un équipement pour le détecteur de fumée
Un équipement pour la sonde de température.
Je prends le soin d’armer le Smoke Sensor .
Je crée une pièce qui se nomme « Salon » et je place le détecteur de fumée à l’intérieur .
En cliquant dans le menu du Smoke Sensor, nous avons différents sous-menu.
Détection de pannes du dispositif
Le fibaro peut détecter une panne de manière autonome. Pour cela il effectue un test toutes les 10 secondes. Si un problème de fonctionnement est détecté (problème de chambre à fumée par exemple), un son intermittent sera émis, et une information sera envoyée à la VeraPlus.
Si une alarme est détectée pour ce type de problème, il est conseillé de démonter le détecteur et :
Veéifier la pile (remplacer la pile) sachant que dans la Vera nous voyons l’état de la batterie
Vérifier si le détecteur n’est pas en plein soleil ou trop proche d’une cheminée (la chaleur pourrait le faire déclencher, car à partir de 51°c le détecteur se déclenche pour annoncer un début d’incendie.
Vous pouvez déclencher la procédure de self-test manuellement, pour 2 raisons :
Pour vérifier que le périphérique est bien alimenté.
Appuyez et maintenez appuyé le bouton B jusqu’à ce que le voyant lumineux clignote en blanc et qu’un court BIP se fasse entendre, après trois secondes la chambre des fumées sera contrôlée. Le déclenchement de l’alarme indique un test positif dans les 10 secondes. Sinon le détecteur est défectueux.
Au cours de la procédure manuelle du self-test, le Fibaro Smoke Sensor envoie un message de commande à la Vera-Plus
En conclusion
Le Fibaro Smoke Sensor associé à la Vera plus fonctionne à merveille, et nous permet de faire de la prévention pour la sécurité de notre petite famille.
De plus, la sonde de température nous permet d’activer divers scénarios et de les lier à des contrôles de température et ainsi contrôler le chauffage de différentes pièces.
Tout d’abord je tiens de nouveau à remercier Hexoskin (http://www.hexoskin.fr/) pour m’avoir mis à disposition un exemplaire de leur tee-shirt.
Dans un premier article, j’avais fait une présentation de ce tee shirt connecté permettant de collecter de nombreuses informations lors de vos entrainements physique, vos activités quotidiennes mais aussi votre sommeil. Pour le relire c’est ici.
Dans ce second article, nous allons rentrer un peu plus dans les détails que ce soit sur le tee shirt en lui-même, ses fonctionnalités et son utilisation.
Détail du maillot Hexoskin :
Retour de mes impressions sur les principales caractéristiques mises en avant par la société qui produit l’Hexoskin et qu’il me semblait intéressant de vérifier :
Respirant –> Mon verdict : la matière permet une bonne évaporation de la chaleur. Même pendant une course à pied de 2h ou une sortie vélo de 3h, aucune sensation de chaleur comme cela peut être le cas avec certains tee-shirt « classiques » de course à pied.
Léger--> Mon verdict : une fois enfilé, il se fait vite oublié. La présence des capteurs et du module bluetooth ne se font absolument pas sentir.
Anti-odeur –> Mon verdict : autant dire que j’étais très sceptique quant à cet atout. Je ne peux que constater que cela est vrai. Habituellement au retour d’une sortie course à pied ou vélo, mes proches m’invitent gentiment à me déshabiller dehors et à filer directement à la douche. Et là stupeur, le maillot pourtant trempé après un effort de 2h sous 30 degrès ne sent quasiment rien. J’ai fait le test de le laisser sécher avec cette sueur afin de voir le résultat olfactif une fois sec. Même constat, aucune odeur. Vous pouvez sans hésiter le remettre sans que personne ne sache que vous avez déjà couru avec. C’est juste impressionnant.
Résistant aux chlores et aux rayons UV–> Mon verdict : je manque certainement un peu de recul dans son utilisation pour juger de cet atout. Mais après quelques sorties réalisées, l’Hexoskin est toujours comme au premier jour tant dans sa tenue (pas de déformation) que dans son aspect (pas de décoloration).
En conclusion, j’ai été très surpris par la qualité du produit : très sympa côté design, agréable à porter grâce à sa légèreté et à sa matière respirante mais aussi par sa capacité « anti-odeur ».
Détail des fonctionnalités :
Ne restait plus qu’à voir si côté fonctionnalités et utilisation il allait confirmer ses premières impressions.
Petit rappel des données récupérées par l’Hexoskin :
La fréquence cardiaque : suivi de celle-ci et électrocardiogramme (ECG) en temps réel.
La variabilité cardiaque : nommée HRV, elle permet de connaître l’état de fatigue/stress et donc d’éviter le sur-entraînement.
La fréquence respiratoire : la respiration est un facteur important dans la performance sportive. Grâce à Hexoskin, vous pourrez apprendre à la maîtriser afin de progresser.
Le volume respiratoire : connaître sa capacité respiratoire permet lors d’une activité sportive d’éviter l’hyperventilation et l’apnée.
Pour lancer une activité, rien de plus simple : cliquer sur « GO » et sélectionner un mode entre « Fitness Tests », « Start Activity » et « Start Workout ».
Dans le cadre d’une utilisation pour progresser, il est intéressant de réaliser les 4 tests proposés dans le mode « Fitness test ». Cela permet d’avoir des valeurs de référence présentes sur la page d’accueil de l’application : Heart rate recovery, Heart Rate Max, Resting Heart Rate, VO2 Max.
Le seul bémol sur les tests intégrés et qu’ils ne contiennent que « la séance » proprement dite mais pas la phase d’échauffement de de retour au calme.Il vous faut donc vous échauffer puis lancer le test, l’arrêter une fois terminé et faire votre récupération. Pour des initiés ce n’est pas si embêtant mais pour des novices, des tests avec toutes les phases programmées serait un plus non négligeable. Car si vous essayez de connaître votre VO2 Max avec un run de 12 min au maximum de vos possibilités avec ou sans échauffement préalable, le résultat ne sera pas identique. L’échauffement prépare à l’effort, votre performance n’en sera que meilleur.
Le mode « Start Activity » sera le plus utilisé. Il présente les différentes activités possibles .
De ce coté là, on retrouve le même fonctionnement que d’autres applications telles que Garmin Connect, Strava… L’Hexoskin enregistre la session et vous en donne un récapitulatif à la fin.
Le mode « Start Workout » correspond à un ensemble de programmes de travail en fonction de ce que vous souhaitez travailler et votre niveau. A noter qu’il est possible de créer ses propres programmes. Contrairement au mode « Fitness Tests », toutes le phases d’une séance sont intégrées avec appellation, la durée ou la distance et la zone cible de travail (zone de fréquence cardiaque). D’où l’intérêt d’avoir réalisé les tests afin qu’Hexoskin vous fasse travailler dans les plages qui correspondent au type d’effort souhaité.
Enfin sur la page d’accueil de l’application on retrouve un résumé de vos données personnelles ainsi qu’un récapitulatif des dernières courses.
Pour avoir une idée de la fiabilité des données remontées par l’Hexoskin, j’ai réalisé mes séances avec ma montre Garmin. J’ai ainsi pu comparer la fréquence cardiaque, la distance, la durée… Les données sont cohérentes et fiables.
Pour un suivi plus poussé, vous pouvez vous connecter à votre compte sur le site http://my.hexoskin.com. Vous y obtiendrez des informations plus détaillées de vos séances par rapport à ceux de synthèse présentes dans l’application de votre smartphone. Pour les initiés, cela ressemble à Garmin Connect. Vous pourrez dès lors voir où sont vos forces et vos faiblesses et y remédier par des entraînements adaptés.
Conclusion :
L’Hexoskin est un produit « haut de gamme » tant dans sa conception que dans sa fiabilité. Il est très agréable à porter et permet de récupérer un maximum de données lors de vos activités. Il sera un parfait allier dans votre quête de progression. Mais celle-ci à un coup qui reste non négligeable et limitera son utilisation à des initiés à la recherche de l’approche de l’excellence ou avec des objectifs très précis de réussite. A l’avenir, bon nombre de coachs sportifs risquent de se tourner vers l’Hexoskin afin d’avoir toutes les données de leur protégé. Cela permettra de planifier des programmes entraînements parfaitement en adéquation avec les capacités du sportif et les objectifs fixés.
Lors de mon voyage au CES en ce début d’année, j’ai vu de nombreuses imprimantes 3D, et cela m’a donné envie de regarder de plus près comment cela fonctionne.
J’ai commencé par faire de nombreuses recherches sur Internet puis j’ai trouvé un constructeur d’imprimante 3D dans ma région. Il s’agit de l’entreprise de Dagoma.
C’est une société française fondée en 2013 basée à Roubaix, qui propose des modèles d’imprimantes à des prix super intéressants et surtout, elle propose des imprimantes à monter soi-même.
Dagoma propose aussi des services très intéressants : – Service d’impression 3D à la demande – Des formations, pour vous aider à monter votre imprimante ou alors pour découvrir l’impression 3D. – Et surtout une visite de l’histoire de Dagoma dans leur nouveau Showroom (j’adore cette proximité avec les clients)
J’ai donc reçu le modèle Discovery 200 déjà monté, et également 2 bobines de filaments.
En ouvrant le colis je tombe directement sur les bobines de filaments, la première Chromatik et l’autre filo 3D.
Coté couleur : 1 blanc, et 1 Orange.
En ouvrant le carton de l’imprimante, un petit morceau de câble est donné, c’est sympa je trouve pour les premiers tests.
Comme vous pouvez le voir l’imprimante est déjà montée et pleinement opérationnelle !
C’est sur qu’au CES j’ai vu des imprimantes beaucoup plus sexy que la discovery 200, mais les prix indiqués m’ont vite dissuadé de m’intéresser à celles-ci 😀
Sur le plateau d’impression un petit logo de l’entreprise Dagoma est imprimé. Il faut savoir que chaque imprimante est testée avant son envoi, c’est un gage de qualité de chez Dagoma !
Sachez aussi que 40 % de l’imprimante est imprimée par d’autres imprimantes 3D.
Dans le colis il y a également une spatule pour aider le décollage de vos pièces imprimées, une alimentation électrique, et une carte mémoire SD 2 Go ainsi que son lecteur.
J’ai également eu un support d’accroche à fixer sur le plateau d’impression (Buildtak), il est possible aussi de coller du scotch Blue tape. L’avantage du Buildtak, c’est qu’il est facile à installer, la surface d’impression est top, celui ci résiste à la température, et il dispose d’une grande durée de vie.
La qualité de l’imprimante est vraiment très propre.
Technologie utilisée : FDM = Fused Deposition Material = Dépôt de Matière fondue / FFF = Fused Filament Fabrication = Fabrication via Filament fondu
Le filament que j’ai utilisé pour imprimer mes objets s’appelle du PLA. Cela est mieux que l’ABS dont les vapeurs sont toxiques (il provient de l’industrie du pétrole), le PLA est non toxique et biodégradable, car fabriqué à partir d’amidon de maïs.
Notez que la bobine de 750 g de PLA coûte autour de 30 euros. On peut faire beaucoup de choses avec 750 g de filament 😉
Pour commencer à imprimer, j’ai utilisé le logiciel Cura sur mon Mac. Ce logiciel est une version faite par Dagoma,
Pour télécharger le logiciel, il faut se rendre sur le site de Dagoma, puis dans support, choisir son imprimante puis tutoriels et logiciels
Une fois le logiciel installé sur mon Mac je peux m’amuser. L’installation est très facile !
Vous allez pouvoir rapidement imprimer votre première pièce qui sera le logo de Dagoma. Cela va vous permettre de bien calibrer votre imprimante, pour ensuite vous essayer à d’autres impressions beaucoup plus longue.
Sur le logiciel, vous pouvez choisir le type de filament, la température de chauffe de la buse, mais aussi le type de remplissage, et la précision.
Ensuite rien de plus simple, vous sauvegardez la configuration sur votre carte SD, puis vous l’insérez dans l’imprimante.
Ensuite il faut insérer le filament dans l’extrudeur, et ensuite insérer le filament dans la tête d’impression. Si votre filament est en place vous pouvez allumer votre imprimante, celle ci va se mettre à chauffer, une fois la température de la buse atteinte l’imprimante va faire ses tests avant de lancer l’impression.
L’imprimante est un peu bruyante, du coup si vous pensez travailler tranquillement en soirée dans votre bureau c’est raté…
Pour retirer la pièce imprimée il suffit d’utiliser la spatule est de la faire glisser sous le modèle imprimé. Je vous conseille d’utiliser de l’alcool à 90° pour nettoyer votre protection de plateau.
Pour ma deuxième impression j’ai suivi le tutoriel très bien fait sur le site de Dagoma pour imprimer le dérouleur de bobine de filament.
D’autres sites proposent également de nombreux modèles : ROAD by Dagoma,Thingiverse, Cults3d… La plupart des fichiers sont gratuits. Il y a également le site de chez boulanger http://happy3d.fr/ qui propose une démarche Open source qui vise à mettre à disposition librement des modèles 3D de pièces détachées des produits de leurs marques.
Il est important de préciser qu’une imprimante 3D comme celle-ci, il ne faut pas la faire tourner sans surveillance. En effet, la tête chauffe à + de 200°C et donc nous ne sommes pas à l’abri qu’un enfant touche à la buse ou autres…
J’ai commencé à faire pas mal d’impressions. Le dérouleur de filaments, un support pour iPad, des robots pour mon garçon et un support d’iPhone. Ici le robot Maker articulé et surtout imprimé en une seule impression.
Voici le robot KillBot mini, il est également articulé en une seule pièce.
Sur le support de l’iphone, il y a pas mal de fils à couper suite à l’impression c’est assez normal car au niveau de la qualité j’ai mis la plus faible, et surtout cela est imprimé en couche successive.
Je suis maintenant totalement accros à cette imprimante !! Il y a tellement de chose à faire avec une imprimante 3D … au début on pense que cela est un gadget, mais une fois qu’on commence à réfléchir à des objets à imprimer, on se prend vite au jeu.
Voici une autre petite vidéo raide, une impression d’un support d’Iphone.
Je reviens vite vers vous avec des nouveaux articles sur l’imprimante Discovery 200 car celle ci est vraiment une super imprimante et surtout elle est Française, des Hauts de France, et son prix est vraiment très bien placé : 399€ pour le modèle monté ou 299€ pour le modèle en kit.
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Nous pouvons maintenant installer le pluviomètre et l’anémomètre !
Netatmo va proposer de télécharger le logiciel d’ajout de module. Donc la pas le choix … on télécharge le gestionnaire de module !
en haut à droite il sera possible d’avoir une explication rapide des données affichées à l’écran.
Le 
Cela se veut simple comme procédure c’est vraiment un point d’amélioration intéressant.
